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Marieposte
21 mars 2013

J'VEUX DU CUUUUUUUUUUUIR

Bonjour, je vous présente mon petit achat d'hier, que j'aime d'amour.

Achat qui m'a permis de sortir de chez Zara la fleur au chapeau avec l'impression de contentement typique lorsqu'on a trouvé un truc chouette à peau de caouette (29,9 euros, pour le détail).

Je voulais un bas noir, brillant (quand le soleil ne brille pas, j'aime bien que ça shine un peu quand même), pas à sequins, j'avais pas trop d'idée précise (d'ailleurs c'est quand on n'a pas d'idée précise qu'on fait des trouvailles) (moi je pars souvent avec un truc hyper trop précis "je veux un pull noir, longueur mi-cul, en coton mais pas jersey, à côtes mais pas torsadées, pas cher, mais pas cheap, fabriqué en France avec des manches marteau, wachi, wacha", bref, je suis encore plus souvent bredouille, ou bien je rentre avec un débardeur rose indien made in Turquie (très belles teintures soit dit en passant), signe de cohérence absolue avec ma volonté).

Donc je n'avais pas trop d'idée précise, en dehors d'un bas noir, et dans un rayon qui d'ordinaire ne me retient pas plus de 25 sec, là, planqué derrière un blouson (ah. On en parle du blouson en matière soyeuse brodé dans l'esprit veste kung-fu? On en parle de comment ce genre de machin me ferait absolument craquer si je n'étais pas capable d'un peu de retenue?), ce leggings en pur cuir de pétrole me souriait. Oui, il me souriait, de toutes ses coutures, alors quand je l'ai pris dans mes mains, le dernier modèle en taille S, il s'est passé un phénomène chimique qui m'a précipité dans la cabine d'essayage, puis aux caisses où j'avais encore mon sourire accroché à la gueule.

Évidement, si j'avais eu le choix, j'aurais préféré un vrai slim en cuir Balmain (attendez, je vais pleurer et je reviens, voilà) (je peux me rouler par terre pour un slim Balmain) (mettez une veste avec, je me roule aussi) (en même temps je peux aussi me rouler par terre pour un paquet de granola sur le coup des 16h) (insupportables, ces parenthèses) (36 ans elle se roule par terre, au secours), mais comme la caisse d'épargne ne comprendrait pas ce genre de passion, autant mourir trouver son bonheur ailleurs.

Voilà, voilà comment j'ai acquis ce petit morceau de bonheur plastifié hyper seyant, très agréable à porter (qui tient exactement chaud comme il faut dans ce printemps bizarroïde) que j'ai porté avec joie aujourd'hui.

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 Futal Zara, blouse Comptoir des cotonniers, Bottines Chiarini Bologna (chez Lisa scarpe)

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Marieposte
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