Prise de conscience ("rhââa, elle a repris du

Prise de conscience ("rhââa, elle a repris du poil de la bête la ptite dame, ça fait plaisir (?), je vous trouve bien mieux comme ça!!" a déclaré la morue tenancière de la maison de la presse, en me tendant Modes & travaux plutôt que mon Bogue mensuel) / Petit index de confiance (deux jours devant moi pour perdre les jours de vautrage pré-hivernal qui ont certainement explosé mon score à gras -cela étant, mes cheveux sont  plus Wizzzz que jamais, faut-il y voir un rapport?- couplés aux "vacances-de-la-Toussaint-du-sport", concept débile mais confortable, deux jours pour dégommer les mauvaises habitudes)  / Volonté de maintenir la P.I.B (Plénitude Intérieure Bonnasse) à son niveau optimum.

Non, je veux pas perdre de poids, ça je m'en fiche, je souhaite seulement être en pleine possession de mes moyens parce qu'avec toute cette pluie, ce vent, et ces contrariétés dehors, j'ai besoin que dedans ce soit toujours lété à Caracas, le printemps dans les alpages, le lys dans la vallée, etc etc..

D'où: ouverture du GRAND CHANTIER DE LA RESTAURATION DE MOI. Avec coupes franches + restructuration + licenciement massif d'adipocytes, refonte des six repas journaliers, réinsertion du thé et abandon du cream chocolate -c'est ballot, c'était bon-. Plan à la Madelin, (tiens, qu'est ce qu'il devient lui à propos?) je le crains. J'aurais dû me méfier qu'aux premiers signaux de novembre mon corps ne comprend plus rien et prend les lardons pour des osties, le pauvre petit. Déja je retourne au Pilates et à la danse dès la semaine prochaine, l'endroit super où tous les miroirs, du sol au plafond, vont me permettre de revenir à la raison, et où tous les exercices vont converger vers le centre de mon Mental pour le reprendre là où il pêchait.

Comme cela, je serais la plus fraîche avant les vacs de Noël, cette période heureuse après laquelle il faudra tout recommencer.